Un peu d'histoire
Lorsqu'il arrive à Colonzelle vers 1855, le père d'Edouard DIJON est embauché par un meunier pour réparer les pièces mécaniques du moulin.
Très vite, son ingéniosité le rend populaire auprès des petites industries de la région. En 1859, après avoir épousé la fille du meunier, il installe son atelier dans le moulin et développe son activité.
En 1890, Edouard DIJON prend la tête de l'entreprise familiale de conception de machines spéciales et étend son rayon d'action sur toute la région, élaborant principalement des pièces pour les moulins à huile (broyeurs, presses...).
En étroite relation avec la famille BARAT, papetiers à Montségur, il lance des machines à couper le chiffon utilisées dans la fabrication du papier et travaille pour la Banque de France.
Lorsque Alexandre, son fils prend la relève en 1937, il constate une demande grandissante de cagettes pour les primeurs : il s'attache alors à concevoir des trancheuses à bois plus maniables que celles existant sur le marché.
Evolution et ingéniosité sont les maîtres-mots de cette longévité. C'est en vertu de ce principe que Claude DIJON reprend le flambeau dès le décès de son père en 1954.
Il laisse la place en 1992 à deux de ses collaborateurs M. RAMBAUD et ICARD qui perpétuent la tradition de l'innovation et de l'adaptation technique dans cet ancien moulin juste au-dessous du village de Colonzelle.
DIJON a déménagé à Pierrelatte en mai 2003 sur la zone industrielle sud dans un atelier neuf de 1500m², avec pont roulant.
M. RAMBAUD prend sa retraite. M. ICARD poursuit en investissant dans des machines-outils toujours plus performantes et innovantes pour que DIJON reste compétitive et pour répondre aux nouvelles exigences des marchés.
DIJON évolue pour s’adapter aux nouvelles technologies, en élargissant ses compétences avec l’acquisition d’une machine électroérosion à fil, de haute précision et à grande vitesse. Elle permet à DIJON de s’ouvrir à de nouveaux contrats.